Pourquoi lutter contre les espèces invasives?
Tout d’abord, à cause de leur impact économique estimé à 19 Mds$ (perte de denrées stockées, risque de pénurie alimentaire, perte de chiffre d’affaires, acidification des monuments, coût des maladies,…) et qui ampute la compétitivité économique.
En second lieu, ces espèces ont un impact sanitaire car elles véhiculent des maladies (puce salmonelle portée par le pigeon, leptospirose chez le rat,…)
Enfin par leur faculté d’adaptation au milieu, leur résilience, leur fort taux de reproduction et leur plasticité génétique, ces espèces ont un impact négatif sur les espèces endémiques et peuvent aller jusqu’à leur élimination complète.
La raison d’être de SHB est de contribuer à l’amélioration des conditions de vie de chacun, par ses activités mais également par ses engagements en termes sociaux et environnementaux. La crise de la Covid a mis sous les projecteurs de l’actualité les préoccupations des professionnels comme des particuliers sur la nécessité de disposer d’un environnement sain.
Parce que les préoccupations de nos clients sont la santé, le bien-être et la sérénité, notre objectif est de répondre à ce besoin essentiel qui est de vivre dans un environnement sain, confortable et serein.
Pour cela, dans la lutte contre les nuisibles, nous mettons en œuvre les techniques adaptées à chaque situation. La solution retenue correspond à chaque fois à l’environnement, au niveau d’infestation, aux risques de contamination directe et/ou secondaire. Nous utilisons des techniques de répulsion ou protection (ultrasons, proofing), d’élimination mécanique ou chimique et mettons sous surveillance le site (monitoring).
Nous privilégions les solutions non chimiques, ayant l’impact le plus limité sur l’environnement. Cependant, les techniques chimiques restent la solution la plus adaptée et la plus efficace dans un certain nombre de situations et de contextes.
L’impact des produits chimiques sur l’environnement est celui de contamination ou d’intoxication :
Par une gestion raisonnée et suivie des produits biocides que nous utilisons, en conformité avec la réglementation, nous limitons le risque de contamination de l’environnement. La gestion de nos déchets sécurise également l’environnement et limite les risques de contamination :
Nous maîtrisons l’utilisation des produits chimiques et des principes actifs grâce à une analyse régulière. Pour chaque molécule, nous évaluons les critères d’utilisation, l’efficacité et la toxicité sur l’homme et l’environnement. Nous mettons à jour régulièrement notre liste de produits biocides utilisés, ainsi que les modes opératoires et les conditions de choix et de mise en œuvre de ces produits.
Nous sommes également en recherche permanente de solutions alternatives, qu’elles soient chimiques moins toxiques ou non chimiques dans un souci de diminution de notre empreinte chimique et environnementale.
Notre engagement en termes de réduction de l’empreinte chimique est XXX/an. (à CA constant, voir quel KPI utiliser).
Commençons par définir la biodiversité. Il s’agit de la richesse écologique d’un milieu, aussi bien en termes d’espèces animales mais également d’écosystèmes, c’est-à-dire du milieu dans lequel ces espèces vivent. Bien que la notion de biodiversité soit aussi ancienne que la vie sur terre, ce concept n’apparaît que dans les années 1980.
La biodiversité est nécessaire à l’homme, pour y puiser les ressources dont il a besoin, comme la nourriture, les plantes médicinales, les insectes pollinisateurs pour l’agriculture,…) et contribue à son développement. Or celle-ci est menacée par cinq facteurs principaux dus à l’activité humaine : la conversion des milieux naturels en milieux artificiels, la pollution de l’air, du sol et de l’eau, le réchauffement climatique, la surexploitation des ressources naturelles et, enfin, l’introduction d’espèces invasives.
Au-delà de la réponse aux préoccupations et besoins de nos clients que sont la santé, le bien-être et la sérénité, nos métiers ont également un impact positif sur la biodiversité en régulant les espèces invasives que sont les rats, frelons, pigeons, chenilles processionnaires,… Ces espèces sont arrivées en France par les échanges mondiaux (voyages, fret,…) Elles ont une capacité d’adaptation à tout milieu et de résilience bien plus importante que les espèces endémiques et finissent par les faire disparaître. C’est par exemple le cas du moineau en ville qui a pratiquement disparu car chassé par le rat brun. Le réchauffement climatique accentue la colonisation par ces espèces.
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